Non, il ne s'agit pas d'une mauvaise interprétation du chef-d'oeuvre d'Igor Stravinsky, mais de la mise à mort d'une province, française depuis 1830, celle que la métropole qui avait encouragé ses citoyens (comme mes arrières Grands Parents paternels alsaciens) à y émigrer pour la coloniser, c'est à dire transformer les marais pestilentiels et fiévreux et les terres en friche en un pays agricole riche grâce aux sacrifices de ses pionniers qui durent lutter contre l'insalubrité, la chaleur étouffante, le manque d'eau potable, les attaques à main armée, les nuisibles comme les sauterelles et le phylloxera et même l'incompréhension et l'incompétence de certains dirigeants. Non, ceci n'est pas un cliché, mais la simple vérité historique. L'Algérie était devenue en un siècle de labeur acharné un grenier à blé, une corne d'abondance: elle exportait ses cultures maraîchères et viticoles, fit jaillir l'eau douce des nappes phréatiques du Sahara pour sauver les oasis ensablés et ses savants luttèrent avec succès contre le paludisme qui fit mourir tant de colons et le trachome qui aveuglait les indigènes. Donc il est pas question de repentance pour l'oeuvre accomplie par nos anciens venus en Algérie qui n'était pas un Klondike. Par contre, le guet-appens organisé par les forces du désordre pour assommer définitivement toute velléité des Français en Algérie d'espérer en un futur possible dans le giron de la France, devra bien un jour être expliqué en Justice.
Nous voici au printemps 2012 et j'ai encore des cauchemars de ce 26 Mars 1962 Depuis le 1er Novembre 1954, date de l'insurrection des Hors-la-loi, et de l'assassinat de l'Instituteur Guy Monerot, je fus, nous fumes, témoins d'attentats plus cruels les uns que les autres, dans les villes et les campagnes, mais eux ils étaient le fait de l'ennemi terroriste qui haïssait la France. A propos combien de places ou de rues en métropole portent-elle le nom de ce tout nouveau Instituteur venu avec sa femme dans un hameau perdu pour sortir les petits arabes de l'ignorance ?
Comme d'habitude, en cette période de changement de saison, (encore une bonne excuse de Docteur pour expliquer mon allergie), j'étais "souffrant des bronches", une façon édulcorée d'évoquer mes étouffements presque chroniques, dus à l'humidité mortelle d'Alger. Une maladie qui m'a peut-être sauvé la vie.
Les jours précédents, je raccompagnais en auto ma mère courageuse (Colette Bloch-Schebat) de son Ouvroir, car il n'était plus question de s'aventurer à pieds ou même en tram dans cette basse-casbah."
Les "Dames Visiteuses"(1) étaient une organisation de charité crée par l'épouse du Grand Rabin Bloch, une parente maternelle, dans les vieux quartiers, pour secourir les israélites nécessiteux plus que jamais en cette période trouble, car tous les pieds-noirs n'étaient pas des "seigneurs" !. Cet Ouvroir aida aussi les juifs qui fuyaient les persecutions au Marroc apres le massacre de Petit-Jean, et qui firent escale a Alger avant de monter en Israel.
Je me souviens que ces derniers jours j'avais pris avec moi un appareil pour photographier ce trajet bordé d'arcades qui passait entre autres devant le magasin d'habillement "La Belle Fermière" du grand-oncle Elie.
Cette pellicule a disparu comme bien d'autres souvenirs dans la tourmente.
J'avais pu voir alors tourner dans le ciel , comme de vilaines mouches noires, des avions de chasse au dessus de Bab-El-Oued.
Rare cliché extrait du précieux site sur cette époque : algeroisementvotre@free.fr,
En son coeur déjà la Grande Synagogue de la Place Randon, au nom du Grand Rabbin Bloch, avait été pillée et ses fidèles blessés lors d'un pogrom local de musulmans du F.L.N., déjà au mois de Décembre 1960. La troupe républicaine
(des Paras) arrivée tardivement pris ses quartiers dans ce Saint Temple mais sans délicatesse pour ce lieu, éleva dans le sanctuaire ...un arbre de Noël, avec sans doute une crèche rappelant la naissance de celui dont les futurs disciples accuseront les juifs de déicide....
Pour les jeunes lecteurs, disons que ce quartier prolétaire de Bab-El-Oued, était l'équivalent d'un Faubourg St-Antoine de Paris, adossé à la Casbah.
Hélas, il n'y a pas eu un Daumier pour immortaliser les massacres de ce 26 Mars comme pour la Rue Transnonain
Du temps du Bey, c'est aux remparts de "La Porte de l'Oued" qu'étaient suspendus à des crochets les malheureux suppliciés accusés par les Turcs d'avoir enfreint les lois d'exceptions contre la dhimmitude. dont faisaient parti les juifs, dont la vie était en sursis avec un salut qui devait être monnayé chaque année !
Maintenant, c'est la Chasse française, les aviateurs élevés dans l'admiration de l'exemplaire St-Exupéry (Ah! qu'elle furieuse réaction aurait-il eu alors !) qui mitraillaient depuis leurs T-6(6) les terrasses ouvrières. Peut-être les mêmes pilotes qui chassèrent les Fellaghas dans leurs wadis ! Je n'ai pas trouve de témoignages de ces pilotes qui osèrent obéir aux ordres de leurs supérieurs pour tuer lâchement des citoyens du haut du ciel .
Les affiches collées en hâte aux murs pendant le couvre-feu, les tracts glissés en secret le soir sous les portes, les explosions, la rumeur publique, les nouvelles vraies ou fausses, les émissions pirates, les enlèvements et attentats, les concerts de casseroles accompagnaient les jours et les nuits d'un peuple en colère qui voyait sa patrie se dérober sous ses pieds.
Toujours est-il que 5 jours (un chiffre porte-bonheur comme une main de Fatma), après le début officiel du Printemps, fut organisée une manifestation de solidarité pour la population de Bab-El-oued, assiégée par les forces de l'ordre.
A Alger, chaque manifestation converge d'abord vers son coeur, qui est le quartier du Square Laferrière, au bas du Monument aux Morts. Ici, les cris de "A la Bastille !!" sont remplacés par "Tous au G.G"(2) ainsi du moins le fut le 13 Mai 1958.
Le 26 Mars 1962, le rendez-vous était devant la Grande Poste, une esplanade vaste où convergeaient des rues aux noms glorieux, Baudin, Michelet, Isly, Bugeaud et autres...
Ce beau carrefour vécut des jours historiques et tragiques. Le 8 Nov 1942,, jour du Débarquement allié en Afrique Française du Nord, les résistants dirigés par José Aboulker s'insurgèrent contre les forces vichystes. Le jeune Lieutenant Dreyfus qui avait la responsabilité de paralyser le Central Téléphonique de la Grande Poste, et en refusa l'accès en se tenant sur les marches d'escalier a l'entrée, fut abattu dans le dos par un Inspecteur de Police collaborateur, lequel, par la suite fut décoré pour son haut fait d'arme ! 20 ans plus tard, le 26 Mars 1962, ce sont des soldats français qui ouvrirent le feu sur une foule pacifique. La encore les auteurs et dirigeants de ce massacre non seulement ne furent jamais inquiétés, mais encore furent félicités pour leur obéissance à celui et ceux qui planifièrent le massacre.
Ce jour là, j'étais seul à la maison. De la fenêtre du cinquième étage de la rue Sadi-Carnot, mon poste de guet habituel, où accoudé je passais des heures à mon observatoire pour me distraire et oublier ma poitrine sifflante, je vis ce matin de Printemps, s'organiser le cortège joyeux de passants pacifiques et d'étudiants et écoliers en goguette, nombreux brandissant le drapeau tricolore, en culotte courte et sandales, s'interpellant, reconnaissant des amis et camarades et tous marchant au milieu de la rue car Alger était en grève. Les rideaux de fer des magasins étaient baissés, et en face de chez moi, le nouvel immeuble des Chemins de Fer était vide de ses employés, et même du port ne me parvenaient plus les sifflements des remorqueurs.
Sous le soleil algérois, les choses les plus graves ne sont jamais sérieuses . J'avais d'en haut, l'impression d'une kermesse. Je vis même de la rue Drouet-d'Erlon déboucher des voyageurs débarqués d'un train à la Gare de l'Agha, se joindre à la foule. Je pouvais suivre des yeux les passants qui montaient la rue Charas et enfilaient aussi le Boulevard Baudin, tout en entendant le reportage à Radio Monte-Carlo, qui était alors la source de nos informations non censurées.
Le bruit de la mitraille à la Grande Poste, je l'entendis à ma radio portative, et plus proche de moi, sursautais aux chocs des ricochets de balles qui martelaient les devantures closes du début de la rue Sadi-Carnot, peut-etre les rideaux de fer de l'armurerie Castel ou du magasin Chamoux. J'entendis alors les cris de "Halte au feu", enregistrés par Julien Besançon (3) :
http://www.cerclealgerianiste-lyon.org/audio/isly.wav
Les criminels avaient agi en plein jour. Quelques minutes après, je vis des passants affolés revenant en sens inverse et je devins un témoin impuissant et terrorisé de ce que je vis: un camion à ridelles chargé de corps ensanglantés qui filait à toute allure et à grand renfort d'avertisseur vers l'Hôpital Mustapha en bout de la longue rue Sadi-Carnot.
Suivirent des camionnettes et autos particulières, leurs chauffeurs agitant éperduement des mouchoirs blancs en dehors des portières, sans doute de peur de se faire canarder. Je ne vis même pas une seule vraie ambulance. Le silence était tombé comme une chape sur le quartier.
A la radio, un appel à tous les étudiants en médecine pour se rendre aux hôpitaux, un appel pour les transfusions de sang, un appel au secours censuré qui mettra plusieurs jours pour arriver en France.
Du bleu, du blanc et du rouge de la France n'en restait que le rouge du sang et de la honte sur les pavés d'Alger.
Délaissant la fenêtre, mon coeur battant trop fort, et me réfugiant au fond de l'appartement, je vis sur les murs de la chambre de mes parents, une orgie d'arc en ciel qu'un face à main biseauté réfractait d'un rayon de soleil.
Je ne pus soutenir ce phénomène merveilleux et incongru et retournais le miroir, en signe de deuil.
Mon père, dans son atelier d'Hussein-Dey, essayait plutôt mal que bien dans cette période où tout s'écroulait, de livrer à temps des ferronneries commandées pour des écoles à Belcourt, pour ne pas être imposé d'amendes pour leur retard ! Pour payer à temps les salaires, les matières premières, l'atelier devait tourner, même dans des conditions impossibles. C'était une époque kafkaïenne où il fallait travailler pour vivre comme si les attentats n'existaient pas, comme si les ouvriers étaient chaque jour à leur poste ces jours où tout déplacement était un danger. Cette adjudication, que mon père avait enlevée avec difficulté, devait réduire les dettes d'emprunts faits aux Banques, qui elles ne font pas de sentiment....
A son retour par la route Moutonnière du littoral, car la Rue de Lyon n'était plus sûre, il essaya le soir de parler en anglais avec la direction du "New-York Times" pour qu'il diffuse la vérité sur le massacre. Il fallait pourtant que la vérité soit connue et traverse la mer, car la censure française cachait la journée sanglante (4) qu'Alger avait vécue.
"Il y a, épinglées aux arbres, des listes de Héros"
Ainsi, j'avais commencé à rédiger ce que je vis en allant le lendemain sur les lieux du Crime. Les troncs des ficus étaient devenus des poteaux de fusillés. Des listes de disparus y étaient piquées. Leurs cadavres furent jetés pèle-mêle à la morgue. Des familles se virent refuser l'entrée de l'hôpital de Mustapha pour reconnaître les corps. L'armée enterra des cadavres avec la précipitation des coupables.
Le Plan avait réussi, et fut cloué ce jour- là le cercueil de l'Algérie Française. Tout a été filmé, photographié, enregistré, mais nous resterons encore pour combien de temps des "profiteurs esclavagistes et des colonisateurs cruels", pendant que les porteurs de valises et de bombes écrivent leurs mémoires de "résistants" et se pavanent dans les écrans de télévision nationaux et alors que fleurissent en Métropole des plaques commémorant ce maudit 19 Mars qui précéda le massacre des vrais patriotes français ?.
Sûrement il existe des Archives encore non dévoilées soigneusement rangées dans des places fortes. Plus tard, la vérité que nous crions sur les toits depuis cinquante ans se fera entendre, mais nous ne serons plus là. Qu'au moins la Vérité fleurisse et chasse les mensonges pour que les enfants de France découvrent grâce aux témoignages de leurs parents cette époque peu flatteuse embourbée dans la propagande pour cacher son propre échec. L'Histoire s'écrit lentement, comme le vin qui dépose sa lie.
Celle du 26 Mars 1962 à la Grande Poste d'Alger attend encore à la grande porte de l'Histoire.
Notes :
(1) D'après Julien Zenouda : Les sociétés et les oeuvres de bienfaisance de la communauté d'Alger, voient le jour dès 1847 . avec l'installation du premier consistoire. Elles furent très nombreuses. Dès 1886 voit le jour "La Charitable Israélite" sous l'impulsion de Madame Bloch. Cette oeuvre avait pour but de visiter les femmes malades et en couches et de fournir la layette pour les nouveaux nès. Elle a été remplacée par les "Dames Visiteuses", que présida très longtemps Clotilde Zermati, aidée par Hélène Djian née Marchina, qui deviendra par la suite en France en 1965 présidente de la Wizo .
(2) "GG" : L'immeuble du Gouvernement Général. C'est là que le 13 Mai 1958, une foule enthousiaste acclama son futur bourreau, haranguant les citoyens, toutes religions confondues, du haut d'un balcon du G.G.
(3) Merci au Cercle Algérianiste à qui j'ai emprunté cet enregistrement de Julien Besançon.
(4) Sur ce sujet, le lecteur honnête prendra le temps de lire et faire connaître le site ci-dessous incontournable sur cette tragédie, écrit par Simone Gautier dont le mari fut assassiné ce 26 Mars 1962. Photos et témoignages y abondent :
(5) Sur les évenements terribles qui se sont déroulés à Bab-El-oued et précédèrent le massacre du 26 Mars 1962. Des Français tirent contre les Français. A lire et a faire suivre au maximum de lecteurs :
Et un autre son de cloches de la Gendarmerie :
(6) Sur les fameux avions T-6 qui aidèrent avec leur appui-feu les combattants en difficulté dans les djebels.
---------------------------------- Fin de l'Algérie Française --------------------------------------
L'actualité m'oblige à sauter du mois de Mars 1962 à celui de 2012.
Depuis quelques jours, le tir quotidien des mortiers et roquettes palestiniennes destinés à terroriser les kibboutz frontaliers de Gaza, s'allongeait au Nord et à l'Ouest pour atterrir de plus en plus proche des grandes agglomérations. Je choisis le 12 février pour me rendre à mon travail semainier. Non pas pour craner, mais histoire de vivre avec mes amis sur place une journée que je présageais pas comme les autres. Déjà à Tel-Aviv le responsable de notre autobus nous avait rappelé qu'en cas "d'alerte rouge", code diffusé sur toutes les chaînes de radio et qui interrompait pour un instant le cours des émissions, que le chauffeur devait s'arrêter sur le bas-coté de l'autoroute et que nous devions descendre le plus rapidement possible pour nous mettre "à plat-ventre, les mains sur la tête". et attendre.. le bruit de l'explosion et une fin d'alerte. Évidement recevoir sur la tronche une fusée de bon matin, était aussi peu probable que de gagner à loterie. Mais il faut savoir que si des éclats brûlants atteignent le réservoir d'essence, l'autobus ( comme cela était arrivé sur la route d'Eilat longeant la frontière égyptienne), immédiatement prendrait feu et il est bon donc de s'en éloigner au plus vite.
Regardez bien cette carte du rayon d'action des projectiles palestiniens, vous y verrez la portée des projectiles du Hamas, qui s'étendent de l'obus de mortier pour atteindre les villages proches de la frontière, jusqu'aux fusées Grad plus précises et dangereuses car elles projettent tout azimut des milliers de billes d'acier de 5m/m de diamètre. Ces engins fabriqués en Russie, Chine, Corée du Nord, Iran et en Syrie regorgent dans les bunkers de Gaza. Ces armes ont été livrées par mer par des "bateaux humanitaires" et surtout après un long passage dans le Soudan et ensuite le Sinai, pour entrer par de nombreux tunnels dans la bande de Gaza.
Je dois dire que déjà en 2006 j'avais goûté largement de ces cadeaux empoisonnés et nous espérions qu'après les bombardement que subirent en réponse les terroristes, qu'ils tireraient les leçons du passe. Il n'en fut rien.
Je dois dire qu'au fur et à mesure que notre transport du personnel s'approchait du Sud, les plaisanteries habituelles et les bavardages se firent plus rares, chacun de sa fenêtre scrutant le ciel pour déceler l'éventuelle traînée que laisse derrière elle le moteur à poudre d'une fusée...Cette fois à la descente de l'autobus, chacun se hâta vers son département pointer sa carte, sans trop s'attarder en chemin... A l'intérieur... détendus et un verre de café chaud en main ce fut à qui raconterait à son voisin la nuit précédente assez agitée dans la région. A force d'entendre parler de cette région comme le Sud d'Israel, on oublie souvent que cette région n'est qu'à 45 Kilomètres de Tel-Aviv ! Il faut vous préciser qu'une série de batteries électroniques détectent le lancement de Gaza d'une ou plusieurs fusées simultanément, et alors déclenche les sirènes d'alerte "Couleur Rouge". Les habitants de localités comme la ville martyre de Sderot ont quinze secondes pour se mettre à l'abri, s'ils en ont un (!) et ceux plus favorisés (?) comme Beer-Sheva quarante secondes (!) pour prendre les enfants dans les bras, se ruer dans les escaliers, et atteindre un endroit plus sur, et cela à n'importe de jour comme de nuit. Quant aux personnes âgées, aux malades ou paralytiques, il ne leur reste qu'à prier que la fusée ne tombe pas dans leur quartier..
Moi, prévoyant le scénario qui nous attendait mis de cote une feuille de papier et un stylo.
A 10h14 du matin, rugissement des sirènes et les hauts-parleurs nasillèrent "Couleur Rouge" pour ordonner de se mettre à couvert immédiatement pour ceux qui vaquaient dehors à leurs occupations.
A 10h15, suivant la loi immuable de la gravitation, on entendit les bruits sourds d'une ou plusieurs explosions.
Étant éloignés par précaution élémentaire des fenêtres, je ne sus pas s'il s'agissait d'un impact ou de la destruction en vol de la fusée Grad par cette merveilleuse technique où radar et pyrotechnique agissent ensemble pour détecter la fusée ennemie, calculer sa trajectoire, prévoir l'endroit présumé de sa chute et alors de la tirer au but si elle ne devait pas tomber hors d'une zone habitée. Le tout en un temps minimal. Une performance qui sauva des centaines de vies humaines ces jours-ci , mais aussi dans le cas fatal aurait probablement déclenché l'invasion de Gaza par Tsahal.
A 10h27, la Radio annonce que six fusées Grad ont été tirées de Gaza, que cinq d'entre-elles ont été détruites en vol par le système "Kippa d'acier" et que la sixième s'était abîmée en rase campagne. Une information remarquable qui nous remplit de fierté, et remonta le moral des populations a l'écoute.
A 10h31, autre alerte ! Cette fois je restais assis à mon bureau au lieu de pénétrer dans une salle bondée aux murs plus épais. Des bruits d'avions à réaction de l'Armée de l'Air, certainement pour essayer d'empêcher les terroristes de monter les bâtis des lanceurs pour pointer leurs fusées. En fait, j'ai entendu dire que certains de ces engins étaient enterrés et positionnés d'avance dans la direction de leur leur cible et que seul leur museau dépassait le sol, rendant impossible leur détection aérienne.
A 11h45, la radio communique qu'un charroi de camions venant d'Israel et entrant à Gaza par la poste de Keren-Shalom, avait été bombardé au mortier par les terroristes qui voulaient ainsi empêcher l'approvisionnement des Gazaouites ! A ce Poste se font les passages dans les deux sens de marchandises mais aussi ce jour même d'une centaine de malades gazaouites pour se faire soigner dans les meilleurs hôpitaux israéliens, ( cancers, malformations du coeur, dialyse). C'est ce qu'on peut appeler une situation Kafkaienne, toute à l'honneur de l'Etat d'Israel, mais qui l'a-t'il lu ou entendu en métropole ? Israel y est devenu le chien galeux et la cause des malheurs du monde entier, et la cible facile des condamnations de l'ONU !...
Je n'ai pas noté l'heure exacte, mais soudain mes entrailles me rappelèrent à l'ordre. Les toilettes les plus proches étant O.Q.P, je me suis aventuré dans la cour déserte vers un autre bâtiment en rénovation et dont les 'buenos retiros', comme on les nomme en espagnol, étaient installés provisoirement dans des.... containers transformés confortablement pour cette occasion. mais pas prévus pour résister à l'impact de fusées.... Oui, l'alerte une fois de plus a déchiré l'air de toute sa puissance, mais rien dans le règlement de la Défense Passive n'avait été prévu dans mon cas très particulier...Ce n'eut pas été une mort très glorieuse
Revenu sain et sauf et decontracté dans mes pénates je fus accueilli par la nouvelle aux informations qui faisaient un bilan, de l'explosion d'une fusée "Kassam" dans le jardin d'enfants qui avait eu lieu à 7h00 du matin, juste avant l'arrivée des mères avec leur poupons. J'ai oublié de vous dire que l'Education Nationale avait évidement fermé toutes ses établissements situés dans le rayon des fusées Grad, confinant ainsi chez eux deux cent milliers d'écoliers et un million d'habitants !. Mais cette agglomération, étant située dans une zone de 0 à 7km de la frontière de Gaza, avait eu l'autorisation de recevoir les enfants car les bâtiments frontaliers avaient eu le privilège d'avoir leurs établissements renforcés de béton pour résister aux tirs des mortiers voisins..
A 12h49 c'est Beer-Sheva (Les 7 Puits), la Capitale du Néguev, qui est la proie des fusées. Sa célèbre Université Ben-Gourion est fermée par précaution, et la ville est aussi paralysée. La fusée Grad a le bras long, mais Israel a la connaissance de fusée encore plus modernes et surtout précises qui attendent dans les bunkers de Gaza à être tirées éventuellement un de ces jours sur Tel-Aviv, pour prendre le Centre du pays entre les feux du Hamas de Gaza et ceux du Hizbola du Liban. Quand je vois ces hauts immeubles qui poussent comme des champignons, je maudis les architectes qui les habillent de vastes fenêtres de verres filtrant, qui bien d'esthétiques, pourraient se transformer en millions d'éclats mortels en cas de déflagration. La réserve du Hizbola est évaluée à plus de dix mille fusées...
Un communique annonce maintenant que d'après une Agence étrangère, cinquante femmes et enfants ont étés découverts, démembrés et brûlés à Horms, la ville que Bachar Assad a décidé de punir pour s'être opposée au régime alaouite. Le doux père du tyran actuel avait déjà lors de son regne fait assassiner une vingtaine de milliers de Syriens. Son fidèle fils est donc sur sa bonne voie avec dix mille victimes et d'innombrables blessés torturés spécialement dans les hôpitaux militaires de Damas : j'ai entendu que les malheureux étaient enchaînés sur leur lit cage, et devaient s'y soulager, un traitement tout à l'honneur de leur docteur Président. Que font devant ces monstruosités le Croissant Rouge et la Croix Rouge ? Ce qui n'a pas empêché Assad de condamner Israel aujourd'hui-même pour ses violences contre le peuple palestinien !! . Le malheur est qu'il existe encore des gens, et non les moins civilisés, qui pensent comme ce Minotaure.
Je voudrai bien qu'un caricaturiste illustra un jour cette légende que je chantonne avec plaisir :
Alaouite, gentil Alaouite,
Je te plumerai la tête,
Je te plumerai la queue....!!!!
14h . Les émotions creusent et nous allons déjeuner à la Cantine. Elle est située toute proche dans un bâtiment neuf et au un ré-de-chaussée et bien protégée. Évidement les convives féminins sont beaucoup moins nombreux, les mères étant obligées de rester chez elles pour garder les enfants, dont certains sont très apeurés et remouillent leur lit la nuit . Car si par miracle les blessures dans la chair sont encore peu nombreuses, ces alertes traumatisantes perturbent les nerfs les plus solides et une génération d'enfants meurtris a ainsi grandi dans le danger, l'angoisse perpétuel.
Notre petit groupe d'amis décidons de ne pas changer nos habitudes hygiéniques de dérouiller nos jambes et faire ce que nous avons la coutume de nommer, " La marche des Prisonniers" en suivant un chemin de ronde, que borde d'un verger abandonné. Là, et nous sommes qu'une poignée de favorises à l'avoir vu, un Paon superbe s'y cache, et presque chaque fois, nous avons la chance de le voir se pavaner dans les fourràs, et goûter des baies sauvages . Nous étions fort inquiets sur son sort, car les détonations l'auraient fait fuir, tout comme les oiseaux dans notre cour qui étaient devenus silencieux dans les arbres. Tout près aussi de notre chemin, un lièvre dodu avait élu son habitat dans un amas de sable broussailleux.!! Les yeux en l'air nous scrutions le ciel qui se voilait de poussières chaudes, phénomène fréquent chez-nous, et dangereux pour les bronches. Cette fois nous avions prévu de ne pas être pris au dépourvu en cas d'alerte loin de notre bureau. Une fois de plus le ciel rougit de la "Couleur Rouge" et à grands pas nous sommes allés nous abriter dans un tres large conduit en béton, du type tout-à-l'égout, un excellente protection installée avec beaucoup d'à propos dans maints endroits dépourvus de refuges. Nous y avons patienter dix minutes pour respecter les recommandations de la Défense Passive...
14h39 Une minute après le déclenchement d'une nouvelle alerte, nous avons nettement entendu un gros "boum". Et presque aussitôt la sirène d'ambulance. Les téléphones portables chanterent et le bruit courut qu'une fusée Grad était tombée dans une rue principale, que fenêtres et volets avaient été arrachés et que les autos d'un parc en stationnement étaient criblées de trous. Des blessés par les éclats de vitres mais surtout des hébétés furent hospitalisés. Un miracle de plus, car cette fois la batterie israélienne n'avait pas réussi à stopper en plein vol la fusée Grad, bien que son succès fut de l'ordre de 90%..Merci aux Ingénieurs qui concrétisèrent ce projet qui sauve les vies. Mais attention, les débris des fusées interceptées tombent quelquefois sur des régions habitées, et c'est inévitable.
Une information confirma à la radio que le département des prématurés, et des nourrissons de l'hôpital d'Ashkelon, la ville tant visée ces temps derniers par les terroristes Palestiniens, avaient été installés dans des sous-sols. A Ashkelon, ville balnéaire moderne, fonctionne une grande usine génératrice d'électricité qui alimente en Haute Tension le Néguev Central , mais aussi la bande de Gaza. Vous ignorez peut-être que Gaza reçoit entre autres biens de consommations et pharmaceutiques, le gaz, l'essence, le mazout, et l'électricité de l'Etat D'Israel et en échange terrorise par les bombardements femmes et enfants israéliens... Il serait temps qu'ils se raccordent économiquement à leurs chers frères-musulmans égyptiens, lesquels veulent bien leur laisser passer armes et munitions , mais refusent de les intégrer chez-eux. D'ailleurs El-Arrish, ville égyptienne est tout proche de Gaza.
15h53 La journée n'est pas finie. L'alerte une fois de plus nous fait monter l'adrénaline, j'avoue qu'il est difficile de s'y habituer. Je plains de tout mon coeur les habitants qui vivent dans ces conditions non pas depuis une semaine, mais depuis dix ans.. Cette fois confiants en la protection des batteries contre-fusées, certains se hasardent dehors sur le pas de la porte, pour essayer de capter ce moment fugitif où les deux trajectoire descendantes et montantes laissant derrières elles une traînée vaporeuse se rencontrent dans un éclair bruyant , si tout va pour le mieux.
Ce-jour, le moins que l'on puisse dire est que je ne fus pas très utile à la Science, par contre l'appareil qui fonctionna avec fiabilite fut le distributeur de boissons, qui lui n'a pas chômé...Encore un robot à bouton-poussoir très utile lui aussi...
Au retour vers le Nord, chaque tour de roue de l'autobus nous éloignait de ce cirque, et j'avoue respirais plus librement. Sdérote, Ofakim, Ashkelon, Ashdod, Gan-Yavné, Rishon-le-Zion étaient derrière nous et avec, la menace balistique . Nous savons tous que Tel-Aviv sera un jour la cible a la fois du Hamas de Gaza et du Hizbola du Liban, mais cette fois avec des ogives lourdes et que nos ennemis rêvent de crever cette bulle. L'Iran a étalé ses tentacules au Nord et au Sud d'Israel pour réaliser là ou le roi le Roi Asuérus et Hitler ont échoué. C'est notre devoir de chaque fois couper ces bras qui repoussent sans cesse. Le plus terrible c'est d'être accusés par l'ONU de politique d'apartheid, nous qui sommes une nation fière de ses multiples origines et de couleur de peau, qui respectent chez-elle toutes les religions et opinions politiques, à tel point qu'à son Assemblée Nationale, les partisans d'un Islam fanatique célèbrent le terrorisme en toute liberté, et que le Muphti de Jérusalem du haut de sa Chaire le Vendredi cite à ses fidèles le passage du Coran qui ordonne "l'égorgement de tous les juifs" (!!), sans être traduit en justice.....
Je ne peux m'empécher de vous inviter à lire la traduction d'un article paru dans le journal électronique israélien en langue anglaise "Ynet-news":
Le résumé:
Un technicien découvrant un dysfonctionnement du système "Iron Dome" (Le Bouclier d'Acier, un dispositif pour dé truire en vol les fusées), n'a pas hésité alors que retentissaient les sirènes d'alerte, à corriger la panne de l'installation sous le tir de fusées ennemies de Gaza, et a été sauvé de l'enfer par autre soldat à la dernière minute !
La récente vague de violence dans le sud signifia que les résidents d'Ashdod devaient faire face à un certain nombre de tirs et d'explosions de roquettes du type "Grad" issues de la bande de Gaza..
Maintenant, il a été révélé que les actions exceptionnelles de deux opérateurs de la batterie "Iron Dome" ont réussi à empêcher l'explosion au but d'au moins une roquette et que la vie de l'un des soldats impliqués a été sauvée grâce à la présence d'esprit de son compagnon d'armes.
Les opérateurs de Tsahal du "Bouclier d'Acier" ont reçu une mer de louanges lors de la récente escalade durant laquelle ils ont réussi à intercepter 85% des roquettes que le système a tenté d'arrêter.
"Ynet" rapporte qu'au plus fort de l'activite du système contre-fusées, la semaine dernière, un technicien avec succès a réglé un dysfonctionnement qui a permis à la batterie d'intercepter une roquette tirée vers Ashdod, tandis qu'un autre opérateur le sauva de la zone dangereuse d'où les missiles d'interception sont lancés.
Le technicien de carrière et Sergent de première classe Eli Zada, a été envoyé au début de la semaine dernière pour dépanner un ennui technique sur la batterie "Iron Dome" responsable de la protection de la capitale du Néguev. Quelques instants après qu'il ait commencé à travailler sur la batterie défectueuse, une sirène d'alerte retentit et avertit ainsi qu'au moins un missile Grad avait été lance de Gaza vers la ville !.
Le technicien n'a pas hésité et au lieu de courir pour s'abriter est resté en place pour résoudre le problème, en s'assurer que la batterie était prête au combat.
Conformément à la réglementation de sécurité, les troupes ne sont pas censées rester dans un périmètre de dizaines de mètres de la batterie "Iron Dome " quand un missile intercepteur est lancé, en raison du niveau de chaleur incroyable et des flammes qu'il émet alors.
Le technicien s'est rendu compte qu'il n'avait pas le temps de s'échapper et ses amis qui l'observaient lui ont crié de courir. L'un d'eux, Eliran Siso, s'est précipité dans une jeep et fonca vers la batterie où il réussi à ramasser Zada, qui sauta dans le véhicule à la dernière minute.
En fin de compte, les opérateurs réussirent à intercepter la fusée Grad qui avait été dirigée vers Ashdod.
Zada avait sauté dans la jeep sans avoir d'abord recueilli son équipement, à l'encontre des règlements de l'armée. Quand il revint à la batterie, il remarqua qu'il n'y avait plus rien de son équipement personnel qui avait complètement fondu sous la chaleur dégagée par le tir du missile intercepteur !.
Ces deux soldats, Zada et Siso ont été salués par de hauts officiers de l'Armée de l'Air et félicités pour leurs actions et celles de leurs camarades dans la défense des résidents d'Ashdod .
"Cela aurait pu se terminer de façon très différente sans l'ingéniosité du technicien qui a insisté pour rester sur la batterie à de grands risques pour sa propre vie" déclarèrent les responsables de la Force aérienne.
Le Commandement a déclaré que "l'incident prouve à quel point notre situation pourrait être très différente sans le succès du système "Iron Dome" et plus que cela, sans le travail des troupes d'exploitation, des techniciens et des combattants vingt-quatre heures sur 24."
Les deux soldats ont dit à leurs amis que "nous étions juste là pour faire notre travail et nous sommes heureux que le missile d'interception ait réussi à déjouer les tirs de roquettes Grad."
Actualité du passé.
Le Journal La Croix titre :
"L’ancien gardien de camp nazi, John Demjanjuk, mort samedi 17 mars 2012 à l’âge de 91 ans en Allemagne où il avait été condamné en 2011 à 5 ans de prison, était un petit employé de la Shoah, l’un des milliers de prisonniers soviétiques recrutés par les Allemands pour perpétrer des crimes.En mai 2011, Demjanjuk avait été reconnu coupable par un tribunal de Munich (sud de l’Allemagne) d’avoir participé au meurtre de 27 900 juifs au camp de Sobibor (aujourd’hui en Pologne), où quelque 250 000 hommes, femmes et enfants ont péri, et où il a été garde en 1943, selon le tribunal.Il avait toutefois été remis en liberté. Demjanjuk ne représentait aucun danger et ne risquait plus de se soustraire à la justice, en raison de son âge et de son statut d’apatride, avait estimé la justice. "
John Ivan Demeniuk, dit "Ivan le Terrible" garde chiourme particulièrement cruel qui participa à l'assassinat de 29000 juifs à Sobibor et Maidanek, vient de mourir en Allemagne, à 91 ans dans son lit, entouré de sa famille, et du secours de la religion, dans une maison de retraite. A la suite d'un... repos bien mérité, après avoir plusieurs fois réussi à échapper aux Lois poursuivant les criminels de la Deuxième Guerre Mondiale, bien que formellement reconnu par des rescapés de l'enfer. Il s'ajoute aux milliers d'Ukrainiens assassins impunis qui militèrent dans les rangs nazis. Comme Ivan-le-Terrible qui poussait avec sa baionnette les vieux et les malades à la descente des wagons pour les entasser dans les Chambres à Gaz.
L'impunité est hélas plus que jamais d'actualité.
Assassinats à Toulouse-la-rouge :
Le médicament contre cette infamie ? La justice le détient : Pendre haut et court les bons français, intellectuels, ouvriers et paysans qui encouragent les terroristes depuis des décades et pourrissent la France avec des plaques commémoratives du 19 Mars et les écrans de TV avec les souvenirs des Porteurs de Valises et assassins de femmes et d'enfants. Chaque année grandit le nombre d'écoliers agressés physiquement et verbalement dans et hors des écoles parce qu'ils sont juifs, dans l'impunité la plus totale. C'est la triste raison pour laquelle les parents des enfants israélites en sont réduits à ne pas envoyer leurs enfants à l'École Laïque de la République qui ne les protège plus des agressions. La liste de ces attentats est longue et enregistrée au Bureau de Vigilance Contre l'Antisémitisme (B.V.C.A) de Paris. Ce Bureau se charge de faire enregistrer ces plaintes dont la Police en général "débordée" refuse de s'en occuper.
Un té moignage:
"J. Sandler (trente ans) fut le premier à être abattu à bout portant par l'assassin. Il tenait alors son fils Gabriel (trois ans) dans ses bras. Gabriel fut atteint et tomba sur le sol, suivi d'Aryeh (six ans). Selon un témoin oculaire l'arme s'enraya mettant un bref arrêt à la tuerie, mais le criminel changea rapidement d'arme et pénétra dans l'École. Il rattrapa Miriam,( sept ans), qui essayait de s'échapper, la saisit par les cheveux et tira. Alors qu'elle gisait ensanglantée sur le sol, il lui releva la tête et tira encore deux nouvelles balles..."
De Gauche ou de Droite, ces condamnations quotidiennes de l'Etat d'Israel, donne des ailes aux assassins en métropole. Il y a hélas CONTINUITÉ DANS L'IMPUNITÉ.
Depuis très longtemps j'ai compris que la France après un bref arrêt à la Libération, a repris sa politique pro-arabe et jette en pâture au Minotaure ses citoyens israélites en échange de tankers pétroliers et des millions de voix islamistes pour les proches élections.
Les fleurs et les discours mielleux des politiciens sont presque indécents. A quand les arrestations des meurtriers et leur jugement suivi de punitions à la hauteur de leurs crimes ?.
Bientôt les Fetes de Pâque : vont ressurgir comme chaque année les accusations de sacrifices d'enfants chrétiens pour faire de leur sang les Galettes juives traditionnelles... comme au Moyen-Âge......
Les "Fonfanas" et leurs admirateurs néo-nazis, et les négationistes n'ont jamais été si gatés par ces évènements....
O France !, le Pays des Lumières, des Idéaux, de la Liberté, de l'Egalité et Fraternité, de la Résistance à l'Envahisseur, le pays généreux qui donne asile aux réfugiés en danger, et protecteur des Religions, il est temps de te resaisir !.
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